Nous quittons la Murcie et les paysages changent. Des décors très désertiques parsemés de cultures intensives grace à l'irrigation. l'eau manque dans le coin, mais en forant jusqu'à 2000 mètres ils parviennent à rendre les parcelles bien vertes.
Nous arrivons aussi dans ces paysages de mers de plastiques composés de serres immenses où, à raison de 3 cultures par an, poussent en toutes saisons les tomates, concombres, courgettes et autres pour nos supermarchés.
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Champs de salades |
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Les ouvriers africains et d'Europe de l'est arrivent dans les champs par bus privés |
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Les bus attendant en bordure des champs |
Nous ne montrerons pas les maisons de ces travailleurs construites à l'aide de bâches récupérées sur les serres démontées. En plein soleil, pendant l'été, il doit y faire bien chaud et, en hiver, bien froid la nuit.
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Ici on prépare les structures en courant sur les câbles métaliques |
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D'un coté les erres, de l'autre le village |
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Ici on bâche le sol en s'aidant de sacs plastiques remplis de terre |
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Au fond une mer de serres |
Le Cabo de Gata Nijãr
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Le Cabo de Gata Nijãr |
Nous restons ce soir, au sud d'Alméria, parmi ces serres en plastique dans un camping bien sympatrique qui nous fait oublier l'environnement.
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